vendredi 12 novembre 2010

Se faire des serments muets


J'ai rencontré quelqu'un qui te ressemble c'était pas prévu, il arrive comme un colis piégé quand on ne sait pas encore s'il va implosé très fort dans le ventre, si puissant, il me veut, je le sens, je suis là, je l'attends, j'ai rencontré quelqu'un qui te ressemble, il vient, tout m'échappe, je veux encore une petite bombe à l'intérieur, je me délivre, je succombe, je suis en vie, t'en pis.



samedi 6 novembre 2010

J'ai laissé derrière moi tant de trottoirs vides.

Dans ce rêve tu me promettais que plus jamais rien ne nous arriverait.

samedi 23 octobre 2010

Paris s'éveille à minuit

" Paris, tout Paris que je te quitte, que je change de cap "

mardi 31 août 2010

Une autre dimention et puis la réalité

" Elle n'a plus la pupille qui brille, qui scintille et qui pétille,
loin de ce qu'elle rêvait hier ... "

vendredi 20 août 2010

Jouer le rôle de ma vie

Debout peu importe le prix, suivre mon instinct.

jeudi 12 août 2010

Je me suis sentie autre pendant un instant

Je ne veux pas avoir peur de redevenir qui j'étais. Celle qui déjouait les règles.

jeudi 15 juillet 2010

Se sentir comme fantôme



I can't sleep, I can't speak to you.

mercredi 7 juillet 2010

Ce n'est que partie remise

Il esquissa un sourire, posa sa main contre ma joue,
me tira vers lui, me serra fort tout contre lui
et m'embrassa doucement tout en me regardant dans les yeux.

And I have so many bruises

samedi 8 mai 2010

Je n'ai pas peur de la ville.

Dimanche, les rues désertes.
Je suis au milieu de cette immensité.
Paris.

mercredi 17 février 2010

" Vous mangez devant la TV ..? " " Je ne regarde pas la TV. "

Mais dans quel monde vis-je .?
Derrière une fenêtre je vois ... ce que les autre ne voient pas.

jeudi 14 janvier 2010

Un jour, à l'infini.

Les yeux grand ouverts, "tac tac tac", ma valise cogne contre mon pied, je n'ai pas le temps.
Arrivée à paris, je cours, pour faire comme les autre ou seulement parce qu'arrivé à paris nous n'avons plus le temps .?
Le temps est gris, il fait froid, et pourtant, dans mes souvenirs il y'a toi.
Tu es là, planté derrière moi, les yeux pleins d'étoiles me voyant photographier n'importe quoi.
Tu me prends par la main, tu voudrais que rien ne nous arrive, tu voudrais être ma vie.
Mais ma vie, je la balance, je la fais tourner, je l'arrose et je la fait sécher dans le sahara.
Ma vie c'est comme à la piscine je nage dans le bonheur, puis mes bras s'engourdissent, je m'arrête, je suis essouflée, je coule. Et puis j'attend mon nouveau sauveur.
Mais jusqu'à quand .?

[ Albert COHEN, Le livre de ma mère. ]

" Les souvenirs, cette terrible vie, qui n'est pas de la vie mais qui fait mal. "