Son sourire, le souvenir de ses mains sur moi sont ce qu'il me reste de lui. Il est temps d'arrêter de se mentir, il me manque plus que tout et je l'aime. Après la dérive et m'être promis que ca ne recommencerai jamais je me suis trompée. Bien sûr que si ca peut recommencer, bien sûr qu'on peux redevenir passionée. Tous les jours ne rien lui montrer, tous les jours lui mentir et ne rien lui laisser passer. Autodestruction, et détester ses sentiments que je ne voulais pas. Se montrer forte voila ce que je voulais. Mais ne pas aimer est ce un signe d'être fort .? Nan seulement avoir un coeur de pierre. Et je sais au plus profond de moi que je me mens à moi-même. Il est parti, il le fallait bien de toute maniere. Il doute de moi, et j'en crève. Car je l'aime bien plus fort. Le mensonge est fini il est temps de s'avouer à soi-même que la route ne se fait pas toute seule, qu'il est là dans ma vie quoi qu'il arrive, qu'il est là maintenant à chacun de mes pas. Qu'il est là dans mes songes, son sourire, son souffle et son regard amoureux. Je le sais amoureux plus que jamais. Il est si bon comédien quand lorsque je veux le prendre si fort dans mes bras, il laisse paraître un " tu ne me touches pas plus que ca. ". Mais lorsqu'il est près de moi, les battements de son coeur le trahissent. Alors je suis enfin rassurée, je l'aime et pour moi il pourrait en mourir. Nous irons mieux, je le sais, nous irons mieux.
dimanche 28 juin 2009
jeudi 18 juin 2009
Je suis surmergée de douceur
dimanche 14 juin 2009
C'est une histoire banale a marquer dans les annales.
On oublie tout sans arrêt, et puis ton odeur passe,
je trépasse, et les souvenirs reviennent,
Je suis sur un fil sans cesse balancée entre toi et ce qu'il reste de nous.
Je suis fragile, abandonnée dans notre rue, déserte, pas une trace de toi.
Parfois tu reviens, laisse un sourire, une odeur, et un soleil dans mon désert.
Je n'ai plus froid en l'espace d'un instant, tu es près de moi. Dehors j'ai froid.
mardi 9 juin 2009
C'est une belle année qui s'achève.
lundi 1 juin 2009
Inscription à :
Articles (Atom)
[ Albert COHEN, Le livre de ma mère. ]
" Les souvenirs, cette terrible vie, qui n'est pas de la vie mais qui fait mal. "