dimanche 14 juin 2009

C'est une histoire banale a marquer dans les annales.

On oublie tout sans arrêt, et puis ton odeur passe,
je trépasse, et les souvenirs reviennent,
Je suis sur un fil sans cesse balancée entre toi et ce qu'il reste de nous.
Je suis fragile, abandonnée dans notre rue, déserte, pas une trace de toi.
Parfois tu reviens, laisse un sourire, une odeur, et un soleil dans mon désert.
Je n'ai plus froid en l'espace d'un instant, tu es près de moi. Dehors j'ai froid.

1 commentaire:

Anonyme a dit…

Coucou, J'adore votre blog spot il est très sympathique ! Comment faites vous pour la barre noir dans haut, "je raconte" faire la page comme vous avez fais? Bonne continuation !! Sublime les photos.. A bientôt.

[ Albert COHEN, Le livre de ma mère. ]

" Les souvenirs, cette terrible vie, qui n'est pas de la vie mais qui fait mal. "