Je regarde par la fenêtre, une onde solaire a perturbé mon attention, que les feuilles sont belles, si vertes, si grandes et si petites à la fois. Le chant des oiseaux m'emmene déjà ailleurs et le coup de pied de ma voisine me rappel que je suis en cours de chimie. Bienvenue dans la vrai vie je passe le bac S dans moins d'un mois et demi.
mercredi 29 avril 2009
vendredi 17 avril 2009
jeudi 16 avril 2009
J'ai beau t'aimer tu pars quand même.
Le soleil illuminait mes pas enchantés et sur un air de chanson que
je lui ai fait écouter je souriais. Je sais ... je ne devrai pas sourire,
car passée l'autre rive je suis indigne. Ses mains sur moi m'ont fait
tant de bien pourtant et son sourire me perdait, je ne ramais plus.
Le bateau avancait pendant que nous nous regardions si profon-
dément, ce sont des roses sur la peau, si douce près de moi et
lorsque je te quitte c'est la panique et ca pique, écorchée vive,
la bouche sale, le vent éparpille les dernieres odeurs de nous.
Je quitte la rive brutalement, revient sur terre et me prend alors
une pluie de grêle. Je ne sais plus où aller, détruisons notre pas-
sage secret pour ne plus jamais connaître ce soleil qui nous in-
nonde de pétales de roses et nous écorchera les lèvres toujours.
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[ Albert COHEN, Le livre de ma mère. ]
" Les souvenirs, cette terrible vie, qui n'est pas de la vie mais qui fait mal. "