mercredi 28 octobre 2009

veni vidi

" T'es arrivée, t'as tout viré, t'as tout changé, et t'as pris toute la place. "

samedi 19 septembre 2009

Je plaque ma mèche et je vous raconte.

J'ai appris à ne rien regretter à laisser partir les gens avec qui ont a ris.
Je remets mes vieilles converses, pull blanc kookai marin et jean troué.
Je ris au nez des poufs, je suis bien plus arogante qu'avant.
Avoir sa place à paris et ici c'est pas facile.
Alors j'efface ma place. Je suis ici et ailleurs.
Je suis everywhere, je ne suis plus, ne me cherche plus.
J'esclaffe de plein de rires, j'amuse et m'amuse.
Fini les compétitions de matheux, bienvenue.
Oui bienvenue " Là où on fait la fête " m'ont-ils dit.
Fini les pleures et les regards hautains des autres.
J'appelle à la renaissance, à ma place que j'ai ici.
Les cartons me voici, les cartons les voila :)

mercredi 26 août 2009

Sentir un ptit coeur battre pas loin du sien.

Voir plus loin que demain, voir la vie entiere auprès de lui.

lundi 3 août 2009

Il faut changer d'air

C'est d'un tremblement des plus horrible, c'est en un instant le bonheur qui s'évapore, c'est le mensonge quotidien. C'est la haine et la colère et finalement pour ne rien faire. Elle regarde ses pieds, et moi mes mains tremblent, incontrolable, toutes les idées fusionnent et me désorientent. Je n'ai plus faim ou un noeud dans le ventre, ma respiration s'est accéléré comme un cent mètres. C'est du froid vers le chaud, c'est mourir en trente secondes. Mais ca ... qui le sait, moi et mes cauchemards, moi et ce corps que j'habite, ce corps qui n'en fait qu'à sa tête lorsqu'elle apparaitra dans mon champ de vision. Fuir, fuir a toujours été ma solution, pour elle et toutes les autres qui auront joué de mes impulsions.


mardi 28 juillet 2009

Amour, amoureuse.

Le visage collé à la vitre tel un poisson essayant de voir l'horizon je le recherche sur le quai. Mon coeur se fait les montagnes russes tout seul, l'attente est insupportable. Le reverrai-je avant mon départ. Je serre plus fort encore mon sac contre moi et mon téléphone portable m'averti : " Je suis là." C'est à cet instant que mes yeux ont parcouru en deux secondes seulement 300mètres de quai de TGV alors que je fûs coincée à l'intérieur. Je le vis courir me cherchant il avait l'air perdu, mais tellement amoureux. Très vite je rabattais la plaquette devant moi, me pris quelque sac de voyages en courant puis sorti en lui courant après. Un grand sourire se dessina sur sa bouche, et je ne touchais plus le sol. Il me fait voler tel un ange ou plutot son ange dans notre bulle d'amour. Nous nous serrâmes fort, plus fort encore, et nous jurions que nous nous aimerions toute notre vie. Rien n'est plus délicieux que ce " je t'aime, tu me manques déjà mon amour. ". A jamais gravé en moi son regard qu'il a posé sur moi. Le train démarra, ma main contre la sienne, seul une vitre nous séparait. Allongée au fond de mon siège, les larmes coulèrent et un grand sourire de bonheur siégeait mon visage.

vendredi 17 juillet 2009

Et doucement tu me fais boire les plus douces histoires.

Il a peur de m'aimer quel malheureux sentiment que d'avoir peur.

dimanche 28 juin 2009

Ca fait mal, et ca fait rien.

Son sourire, le souvenir de ses mains sur moi sont ce qu'il me reste de lui. Il est temps d'arrêter de se mentir, il me manque plus que tout et je l'aime. Après la dérive et m'être promis que ca ne recommencerai jamais je me suis trompée. Bien sûr que si ca peut recommencer, bien sûr qu'on peux redevenir passionée. Tous les jours ne rien lui montrer, tous les jours lui mentir et ne rien lui laisser passer. Autodestruction, et détester ses sentiments que je ne voulais pas. Se montrer forte voila ce que je voulais. Mais ne pas aimer est ce un signe d'être fort .? Nan seulement avoir un coeur de pierre. Et je sais au plus profond de moi que je me mens à moi-même. Il est parti, il le fallait bien de toute maniere. Il doute de moi, et j'en crève. Car je l'aime bien plus fort. Le mensonge est fini il est temps de s'avouer à soi-même que la route ne se fait pas toute seule, qu'il est là dans ma vie quoi qu'il arrive, qu'il est là maintenant à chacun de mes pas. Qu'il est là dans mes songes, son sourire, son souffle et son regard amoureux. Je le sais amoureux plus que jamais. Il est si bon comédien quand lorsque je veux le prendre si fort dans mes bras, il laisse paraître un " tu ne me touches pas plus que ca. ". Mais lorsqu'il est près de moi, les battements de son coeur le trahissent. Alors je suis enfin rassurée, je l'aime et pour moi il pourrait en mourir. Nous irons mieux, je le sais, nous irons mieux.

jeudi 18 juin 2009

Je suis surmergée de douceur

Lorsque contre moi, d'un air brutal tu fais apparition, à toujours,
A jamais tu restes celui qui a provoqué extrême douceur de vivre.
Car seuls tes baisers provoquent en moi un gout de délice intense.

dimanche 14 juin 2009

C'est une histoire banale a marquer dans les annales.

On oublie tout sans arrêt, et puis ton odeur passe,
je trépasse, et les souvenirs reviennent,
Je suis sur un fil sans cesse balancée entre toi et ce qu'il reste de nous.
Je suis fragile, abandonnée dans notre rue, déserte, pas une trace de toi.
Parfois tu reviens, laisse un sourire, une odeur, et un soleil dans mon désert.
Je n'ai plus froid en l'espace d'un instant, tu es près de moi. Dehors j'ai froid.

mardi 9 juin 2009

C'est une belle année qui s'achève.

Et nous n'avons qu'une phrase à la bouche,
Certes très simple mais remplie d'espoirs:
" Si j'ai mon BAC, je ferai ... ca ou ci. "

lundi 1 juin 2009

C'est d'une attente interminable.

" Jack a dit aime, J'ai beau t'aimer tu pars quand même. "

jeudi 28 mai 2009

Partie ailleurs

Mais je t'embrasse et ça passe
Tu vois bien
On s'débarrasse pas de moi comme ça
Tu croyais pouvoir t'en sortir,
En me quittant sur l'air
Du grand amour qui doit mourir
Mais vois-tu je préfère
Les tempêtes de l'inéluctable
A ta petite idée minable
Avant la haine, avant les coups
De sifflet ou de fouet
Avant la peine et le dégout
Brisons-là dis-tu

mercredi 29 avril 2009

Je regarde par la fenêtre, une onde solaire a perturbé mon attention, que les feuilles sont belles, si vertes, si grandes et si petites à la fois. Le chant des oiseaux m'emmene déjà ailleurs et le coup de pied de ma voisine me rappel que je suis en cours de chimie. Bienvenue dans la vrai vie je passe le bac S dans moins d'un mois et demi.

vendredi 17 avril 2009

jeudi 16 avril 2009

J'ai beau t'aimer tu pars quand même.


Le soleil illuminait mes pas enchantés et sur un air de chanson que 

je lui ai fait écouter je souriais. Je sais ... je ne devrai pas sourire, 
car passée l'autre rive je suis indigne. Ses mains sur moi m'ont fait 
tant de bien pourtant et son sourire me perdait, je ne ramais plus. 
Le bateau avancait pendant que nous nous regardions si profon-
dément, ce sont des roses sur la peau, si douce près de moi et 
lorsque je te quitte c'est la panique et ca pique, écorchée vive, 
la bouche sale, le vent éparpille les dernieres odeurs de nous. 

Je quitte la rive brutalement, revient sur terre et me prend alors 
une pluie de grêle. Je ne sais plus où aller, détruisons notre pas-
sage secret pour ne plus jamais connaître ce soleil qui nous in-
nonde de pétales de roses et nous écorchera les lèvres toujours. 
                                                                                                                   
                                                                                                                     Je meurs.



[ Albert COHEN, Le livre de ma mère. ]

" Les souvenirs, cette terrible vie, qui n'est pas de la vie mais qui fait mal. "